"Louise Damas Paris,
marque éponyme de la créatrice parisienne,
présente sa première collection
au restaurant Philou, 12 avenue Richerand, Paris 10ème,
autour d’un verre - ou plusieurs,
le dimanche 28 octobre 2012 à partir de 18h."
Lien*
Photo Ludovic Zuili , modèle Jeanne Damas
samedi 27 octobre 2012
vendredi 26 octobre 2012
jeudi 25 octobre 2012
mercredi 24 octobre 2012
lundi 22 octobre 2012
vendredi 19 octobre 2012
jeudi 18 octobre 2012
mercredi 17 octobre 2012
lundi 15 octobre 2012
dimanche 14 octobre 2012
Edward Hopper***Au Grand Palais***
Le Grand Palais offre le plus beau cadeau esthétique de cette fin d’année : l’exposition Edward Hopper
jusqu’au 28 janvier 2013. On n’est d’ailleurs loin d’être les seuls à
relayer l’information. Mais il faut avouer qu’elle constitue l’événement
le plus important de cette rentrée. Pour la première fois en France le
plasticien est l’objet d’une grande rétrospective.
La
présentation repose sur deux chapitres distincts qui retracent
l’évolution créative de ce théologien de la lumière dans le sillage des
pères fondateurs, comme Thomas Eakins ou son mentor Robert Henri. Le
Grand Palais a voulu éviter de se restreindre à 1924, l'année de sa
reconnaissance artistique marquée par ses aquarelles, réalisées d'après
les maisons néo-victoriennes de la Nouvelle-Angleterre. La rétrospective
lève le voile sur une période plus obscure où le peintre fut contraint
de faire de l’illustration commerciale pour survivre. L’exposition a
fait le choix de l'exhaustif et ce n'est pas pour nous déplaire.
Au
croisement de l’impressionnisme et d’un réalisme proche de la
photographie, l’œuvre d’Edward Hopper construit une mythologie
américaine à références multiples. On palpe de l’Ernest Hemingway –
auteur qu’il admirait -, de l'Emerson et du Van Gogh, dans NightHawks notamment.
A l'inverse, on observe comment la peinture de Hopper a investi le
cinéma américain, celui de David Lynch dans la représentation d’une
Amérique aussi désolée qu’onirique. Celui de Terrence Malick qui
reproduit à l'identique le stupéfiant "House by the Railroad" dans "Les
Moissons du ciel" (1979).
Inclassable, Hopper, comme touché par une grâce, fait émerger le sacré d’une bâtisse, d’une station service ("Gas", ci-dessus), d’un phare... Ses tableaux sont les projecteurs des fantasmes de son public, captant la sensation pour la transcender. La simplicité de la chose représentée n'en fait pas une oeuvre simple, au contraire. Son travail est sensoriel. Fasciné par la lumière, Hopper a fantasmé pouvoir la peindre. Geste qu’il a presque réussi à réaliser avec l’un de ses derniers tableaux. Une pièce vide éclairée par un simple rayon. La lumière est centrale dans ses peintures, chargées d’une puissance esthétique rare, à couper le souffle. Il est d'ailleurs surprenant d'observer à quel point aucun fac-similé n’est capable de traduire la force qui se dégage des œuvres originales. La visite se clos naturellement sur son œuvre testamentaire, "Two Comedians", un hommage à son épouse surnommée "Jo", qui n’a jamais atteint la reconnaissance artistique. Cette brillante exposition pourrait aussi bien se passer de mots. Elle se raconte très bien toute seule.
Inclassable, Hopper, comme touché par une grâce, fait émerger le sacré d’une bâtisse, d’une station service ("Gas", ci-dessus), d’un phare... Ses tableaux sont les projecteurs des fantasmes de son public, captant la sensation pour la transcender. La simplicité de la chose représentée n'en fait pas une oeuvre simple, au contraire. Son travail est sensoriel. Fasciné par la lumière, Hopper a fantasmé pouvoir la peindre. Geste qu’il a presque réussi à réaliser avec l’un de ses derniers tableaux. Une pièce vide éclairée par un simple rayon. La lumière est centrale dans ses peintures, chargées d’une puissance esthétique rare, à couper le souffle. Il est d'ailleurs surprenant d'observer à quel point aucun fac-similé n’est capable de traduire la force qui se dégage des œuvres originales. La visite se clos naturellement sur son œuvre testamentaire, "Two Comedians", un hommage à son épouse surnommée "Jo", qui n’a jamais atteint la reconnaissance artistique. Cette brillante exposition pourrait aussi bien se passer de mots. Elle se raconte très bien toute seule.
samedi 13 octobre 2012
Paris c'est Chic***
Les guides sur Paris, ce n’est pas que pour les touristes. La preuve, le site Do it in Paris sort Paris, c’est chic ! un best of des adresses mode, déco et culture destiné aux parisiennes en quêtes de nouveaux spots. Boutiques vintage,
restos décalés, musées cachés, les rédactrices Elodie Rouge et
Quitterie Pasquesoone nous donnent leurs bons plans pour profiter de la
capitale sans se ruiner. De Belleville à Palais Royal en passant par
Sèvres Babylone, ce guide nous fait sillonner tous les quartiers de
Paris sur fond d’illustrations poétiques signées Angeline Melin. Il y a
même un résumé en anglais pour chaque notice si jamais on veut le prêter
à sa copine d’outre-Manche.
Paris,c’est chic !
Editions Parigramme
Prix : 13.90€
Paris,c’est chic !
Editions Parigramme
Prix : 13.90€
Chloé s'expose au Palais de Tokyo***jusqu'au 18 /11
Le Palais de Tokyo nous propose du 29/09/2012 au 18/11/2012 une expo dédiée à la Maison Chloé,
qui fête ses 60 printemps. L’expo sera la toute première exposition
réservée à Chloé et retrace son histoire au travers des créateurs qui
l’ont rendue célèbre et des collections mythiques.
jeudi 11 octobre 2012
***
#4 Le Bon Marché célèbre son 160ème anniversaire

Pour fêter cet événement, le bureau de style du plus ancien gand magasin français a imaginé une collection propre d'objets, inspirée d'une sélection de motifs et de dessins originaux extraite des archives du Bon Marché. Une centaine de marques s'est également inspirée de ces motifs pour la conception de créations exclusives.
Environ 160 grandes marques et maisons de luxe rendent hommage au grand magasin avec des collections ou des produits proposés en séries limitées, en exclusivité. Vous retrouvez des marques comme Shiseido, Moët & Chandon, Clinique, Giorgio Armani...
De plus, Catherine deneuve y est à l'honneur. Pour l'occasion, Marjane Satrapi a imaginé plusieurs illustrations mettant en lumière l'actrice française. Les dessins sont proposés en édition limité à 160 exemplaires au prix de 900€.
***
#3 Expo Van Gogh à la Pinacothèque : Rêves de Japon

Les deux expositions présentées simultanément sur les deux sites de la Pinacothèque permettent aux visiteurs de confronter l'oeuvre de Van Gogh à celle de Hiroshige.
Tout a été dit sur la fragilité psychologique de Van Gogh, sur ses troubles bipolaires, sa shizophrénie et sur ses crises de délire accompagnées d'hallucinations. Mais il est légitime de se demander si l'analyse de ses troubles graves, mise en relation avec l'analyse de ses oeuvres n'a pas finalement fait oublier l'essentiel. Toutes ses références vont se tourner vers un art dont toute la philosophie repose sur la solidité, la composition, la sérénité, le voyage et la paix intérieure.
Cette exposition nous montre que les références de Van Gogh au japonisme en général et à Hiroshige en particulier ne sont pas réduites à quelques oeuvres phares mais que la majorité de ses paysages à partir de 1887 sont construits autour d'un système référentiel au centre duquel se retrouve, presque systématiquement, l'oeuvre de Hiroshige.
Vous pourrez apprécier une quarantaine d'oeuvres qui sont principalement des paysages. Cette exposition montre l'importance du japonisme dans l'art impressionniste.
Van Gogh
Rêves de Japon
Du 03 octobre 2012 au 17 mars 2013
Pinacothèque 2
8 rue Vignon
75009 Paris
Braderie ***Petite Maman***
French
Touche est partenaire cette année encore de la grande braderie
récréative organisée par l'association Petite Maman le 13 octobre au
Comptoir Général, 80 quai de Jemmapes Paris 10e.
L’association, spécialiste de la collecte de vêtements pour bébés et enfants, proposera des articles à prix tout doux parmi : habits, mobilier de puériculture, livres… + de nombreux ateliers pour les enfants
Shopping, ateliers et bonne action, tous à la braderie Petite Maman !
L’association, spécialiste de la collecte de vêtements pour bébés et enfants, proposera des articles à prix tout doux parmi : habits, mobilier de puériculture, livres… + de nombreux ateliers pour les enfants
Shopping, ateliers et bonne action, tous à la braderie Petite Maman !
mardi 9 octobre 2012
***
Inspiré par le livre "Paris vs New York" (10-18) réalisé par le graphiste français Vahram Muratyan, le motion designer Tony Miotto
suit la même démarche en vidéo. Le concept : offrir un match visuel
amical entre les deux cités. Le motion design d’une minute passe en
revue acteurs (Depardieu versus De Niro), réalisateurs (Godard versus
Allen), aliments (baguette versus bagel), soulignant les poncifs avec
humour. Tout est plus grand du côté de la ville qui ne dort jamais. Et
en même temps, on ne compte plus les points communs. La vidéo lève un
voile artistique sur deux soeurs rivales qui se vouent un respect
infini.
Paris vs New York from TonyMiotto on Vimeo.
Paris vs New York from TonyMiotto on Vimeo.
lundi 8 octobre 2012
vendredi 5 octobre 2012
jeudi 4 octobre 2012
mercredi 3 octobre 2012
Paulette fait son cirque chez Paperdolls ***tonight!
Le magazine Paulette a le plaisir de vous inviter à souffler sa première bougie autour d'un cocktail
chez Paperdolls ce mercredi soir à partir de 18h.
chez Paperdolls ce mercredi soir à partir de 18h.
Un cadeau surprise sera offert aux trente premières arrivées ... !
mardi 2 octobre 2012
lundi 1 octobre 2012
3 Expos à ne pas manquer***
C’est déjà l’automne. Les boutiques reçoivent de pleines caisses de nouveautés et refont leur vitrine avec les collections de saison. Certaines en profitent pour faire la part belle aux créateurs en les mettant en scène à travers des expos éphémères. Petit guide de nos coups de cœur de cette rentrée.
Atsuko Ishii chez French Touche, 1 rue Jacquemont 75017 Paris, jusqu’au 6 octobre
Nous admirons depuis longtemps l’univers poétique et léger de cette artiste japonaise originaire d’Osaka. C’est également l’occasion de rendre hommage à Valérie de French Touche qui fut la première à présenter les créations de Mini labo à Paris.

Ana Ventura chez Titlee (show room), 13 rue Titon 75012 Paris, jusqu’au 31 octobre
Nous avions découvert l’univers délicat et onirique d’Ana Ventura lors de notre voyage à Stockholm (voir notre article de mars 2012). Nous étions très heureuses de la rencontrer dans le show room épuré de notre amie Titlee dont nous collectionnons les bijoux.

Lyndie Dourthe chez Dante & Maria, 3 rue de la Grange aux belles 75010 Paris, jusqu’au 1er novembre
Dante & Maria, ressemble à un cabinet de curiosités où l’on trouve d’aériens bijoux pièces uniques. Les petits fantômes de Lyndie Dourthe y ont trouvé naturellement leur place.

Paris vu par Hollywood***
Parfois
fantasmé, parfois truffé de clichés, Paris a souvent attisé l’intérêt
du cinéma hollywoodien. Il y a le Paris de la Paramount, proche de la
réalité, le Paris-MGM et le Paris hexagonal, la source. L’Hôtel de Ville
croisent les regards portés sur la capitale avec son exposition "Paris vu par Hollywood"
jusqu'au 15 décembre. Du cinéma muet aux films contemporains, d’une
image rêvée à sa représentation naturaliste. Pourquoi Paris attire-t-il
les plus grands cinéastes de toutes les générations, de Lubitsch,
Hitchcock, Blake Edwards en passant par Walt Disney et plus récemment
Woody Allen ? Certains n’y voient guère plus qu’un amas de poncifs,
d’autres, comme Julie Delpy et son 2 days in Paris restituent l’atmosphère du microcosme artistico-intellectuel.
L’exposition dessine les contours d’une ville protéiforme. Celle de la Belle Epoque marquée par la mondanité et les coupettes de champagne que le cinéaste Ernst Lubitsch se fait un plaisir de projeter sur grand écran avec Sérénade à trois ou Haute Pègre. Le Paris de la séduction et du libertinage porté par une Marlène Dietrich dans Desire de Frank Borzage (1936). Dans les années 1950 le Paris des cabarets et de la danse illuminent les écrans avec Moulin Rouge de John Huston, French Cancan de Jean Renoir – parti outre-Atlantique depuis plusieurs années. Sous l’influence de la Nouvelle Vague, les années 1950 marquent aussi le temps des cinéastes qui se déplacent, tournant leur film sur place pour une représentation moins picturale et folklorique de la ville.
Si les photos auraient certainement gagné en force accrochées à un mur plutôt que disposées sur une table, les croquis de décors et de costumes nous plongent dans l’ambiance des plateaux hollywoodiens. On observe leurs techniques de travail, leur regard en amont. Certains costumes, souvent somptueux, décorent la salle principale où un écran géant projette certaines scènes majeures. Des séquences de Funny Face avec Audrey Hepburn et Fred Astaire, des Aristochats ou de Ratatouille rythment l’exposition de l’Hôtel de Ville.
Exposition gratuite du 18 septembre au 15 décembre 2012
Hôtel de Ville, salle Saint-Jean, 5 rue Lobau, Paris 4e
Ouvert tous les jours sauf dimanches et jours fériés de 10 h à 19 h
L’exposition dessine les contours d’une ville protéiforme. Celle de la Belle Epoque marquée par la mondanité et les coupettes de champagne que le cinéaste Ernst Lubitsch se fait un plaisir de projeter sur grand écran avec Sérénade à trois ou Haute Pègre. Le Paris de la séduction et du libertinage porté par une Marlène Dietrich dans Desire de Frank Borzage (1936). Dans les années 1950 le Paris des cabarets et de la danse illuminent les écrans avec Moulin Rouge de John Huston, French Cancan de Jean Renoir – parti outre-Atlantique depuis plusieurs années. Sous l’influence de la Nouvelle Vague, les années 1950 marquent aussi le temps des cinéastes qui se déplacent, tournant leur film sur place pour une représentation moins picturale et folklorique de la ville.
Si les photos auraient certainement gagné en force accrochées à un mur plutôt que disposées sur une table, les croquis de décors et de costumes nous plongent dans l’ambiance des plateaux hollywoodiens. On observe leurs techniques de travail, leur regard en amont. Certains costumes, souvent somptueux, décorent la salle principale où un écran géant projette certaines scènes majeures. Des séquences de Funny Face avec Audrey Hepburn et Fred Astaire, des Aristochats ou de Ratatouille rythment l’exposition de l’Hôtel de Ville.
Exposition gratuite du 18 septembre au 15 décembre 2012
Hôtel de Ville, salle Saint-Jean, 5 rue Lobau, Paris 4e
Ouvert tous les jours sauf dimanches et jours fériés de 10 h à 19 h
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